LE PENDULE DU 5e REGNE

Description

Dans les années 1930, deux physiciens français, Léon Chaumery et André de Bélizal, ont été amenés à travailler sur les ondes de forme et, en conséquence, à concevoir notamment deux pendules : le pendule universel PU-6 et le pendule à cône variable. Pourquoi ?

L’histoire raconte : André de Bélizal (la rumeur le présenterait comme le petit-fils de l’égyptologue Howard Carter) reçut en héritage de son grand-père, un anneau de pierre en grès d’Assouan. Cette bague semblait avoir protégé l’archéologue lors de ses investigations et découvertes. Howard Carter l’avait lui-même reçue en cadeau du marquis d’Agrain, égyptologue, qui, en 1860, la découvrit dans un sarcophage de la Vallée des Rois.

Cet anneau, sur lequel étaient gravés des symboles, semblait avoir protégé Carter d’une malédiction qui apparut ainsi : le 25 novembre 1922, tandis que Howard Carter pénétrait avec lord Carnavon dans le tombeau de Toutankhamon, il découvrit inscrit au-dessus de l’entrée scellée : «Les ailes de la mort toucheront celui qui violera le repos éternel du Pharaon.»

Force fut de constater par la suite qu’un sort tragique allait frapper l’équipe présente : dix-huit personnes proches décédèrent d’accidents étranges ou de maladie dans les jours et mois qui suivirent. Seul Howard Carter, qui portait cet anneau symbolique (appelé bague de Ré ou bague atlante), eut plus de chance et décéda seulement dix-sept années plus tard de sa belle mort.

André de Bélizal, accompagné de Léon Chaumery, orienta ses recherches vers les phénomènes vibratoires et micro vibratoires.

Il comprit que le pouvoir de cet anneau, véritable talisman, résidait dans la structure même de sa forme. Il le porta et constata une amélioration de sa santé, de ses affaires. Il reproduisit l’anneau sur une barre de bois (voir barre atlante ci-après) et mena des expériences similaires sur les plantes et les animaux. Les résultats furent probants. Alors s’enclencha toute une série d’études sur les ondes de forme, études qui devaient déboucher sur la décomposition du spectre de la lumière.

Les deux physiciens français découvrirent que tout objet, selon sa spécificité et particularité, influe sur le corps énergétique de l’homme. Tout objet émet des ondes de forme. S’appuyant sur un procédé de détection radiesthésique, ils révélèrent la décomposition du spectre de la lumière sur le pourtour d’une sphère de bois.

«Cet électromagnétisme, nous le pressentons dans la sphère, carrefour et centre d’émission de toutes les vibrations. Nous avons constaté que cette dernière étant traversée par un courant magnétique naturel passant par ses pôles, il se produit au centre même de la figure, dans l’ordre des radiations visibles et invisibles, une décomposition en longueur d’onde analogue à celle d’un spectre lumineux, et ces différents rayons de couleur se répartissent sur la surface sphérique en points rigoureusement équidistants. Ces radiations étant identiques au phénomène constaté dans la décomposition d’un rayon de lumière blanche à travers un prisme de cristal, il nous a paru évident que nous nous trouvions en présence de la gamme complète des longueurs d’onde, depuis la plus longue : l’infra noir, jusqu ‘à la plus courte que nous avons nommée depuis : « vert négatif ».»

Là fut la clé de toutes leurs études radiesthésiques qui allait enclencher par ailleurs la conception du Pendule Universel et la théorie de la décomposition du spectre de la lumière.